Microbiote Intime

Un écosystème vaginal équilibré, source de santé La flore intime féminine abrite diverses espèces de lactobacilles. Celles-ci aident à préserver la santé génitale. De l’équilibre de cette flore intime dépend en effet l’inhibition de champignons et autres organismes indésirables. Les lactobacilles maintiennent le vagin à un pH sain d'environ 4. Cet environnement légèrement acide aide à protéger contre les infections . Toujours est-il que plusieurs facteurs peuvent induire un déséquilibre de l’écosystème vaginal :  les bouleversements hormonaux, l’excès d’hygiène ou encore la consommation de certains aliments… Pour restaurer ou maintenir l’équilibre de l’écosystème génito-urinaire BIOCYTE propose Microbiote Intime , un complément alimentaire sous forme de comprimés. Celui-ci apporte 3 souches de « bonnes bactéries » à l’efficacité prouvée et dosés à 15 milliards. Il associe en effet L.acidophilus (LA) , L.rhamnosus (LRh) et L.plantarum (LP) , des microbiotes naturellement présents dans l’organisme. La formule est également enrichie en cannelle, en canneberge et en vitamine B2 pour une action à large spectre sur la flore vaginale. BIOCYTE Microbiote Intime aide alors à réduire les symptômes de déséquilibre génital tels que démangeaisons, brulures et picotement s. Pour neutraliser E.coli, le responsable des infections urinaires Les infections des voies urinaires proviennent souvent de la colonisation de la flore intime par la bactérie E.coli . 50 % des femmes en souffrent à un moment de leur vie. Et les symptômes incluent la douleur suprapubienne, la dysurie, la pyurie, une miction fréquente et douloureuse et, parfois, une hématurie. BIOCYTE Microbiote Intime contient une formule qui aide à inhiber cet agent pathogène. Il agit dès la première prise et les premiers effets se font ressentir jusqu’à plus de 24 heures. L’efficacité est prouvée par 2 études scientifiques : — V. Mezzasalma et al. « Formulations probiotiques multi-espèces administrées par voie orale pour prévenir les infections uro-génitales: étude pilote randomisée et contrôlée par placebo », Arch Gynecol Obstet, 2016. — Étude ouverte expérimentale auprès de 30 femmes atteintes de vaginose bactérienne et 23 atteintes de candidose vulvo-vaginale. Traitement de 10 jours.